Livres de développement personnel

Livres de développement personnel

Les 10 Livres de développement personnel que je vous conseille

Tout cheminement intérieur et évolution passe par des rencontres. Celles-ci peuvent être physique, comme avec Joe Dispenza et Gregg Braden par exemple qui ont apporté un éclairage nouveau au sens que je donnais à la vie, par leur humanité et leur vision éclairé du monde. Mais cela passe aussi par des rencontres littéraires par des écrits qui nous mettent en réflexion et en mouvement pour apporter des changements bénéfiques dans nos vies. Je partage avec vous une liste non exhaustives des livres qui m’ont nourri ces 10 dernières années…et que je relis encore aujourd’hui.


L’homme qui voulait être heureux – Laurent Gounelle

« Imaginez…
Vous êtes en vacances à Bali et, peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guérisseur. Sans raison particulière, juste parce que sa grande réputation vous a donné envie de le rencontrer, au cas où…
Son diagnostic est formel : vous êtes en bonne santé, mais vous n’êtes pas… heureux.
Porteur d’une sagesse infinie, ce vieil homme semble vous connaître mieux que vous-même. L’éclairage très particulier qu’il apporte à votre vécu va vous entraîner dans l’aventure la plus captivante qui soit : celle de la découverte de soi. Les expériences dans lesquelles il vous conduit vont bouleverser votre vie, en vous donnant les clés d’une existence à la hauteur de vos rêves. »


Rompre avec soi-même – Joe Dispenza

Pour se créer à nouveau

« Nos gènes ne nous condamnent pas à vivre une certaine forme d’existence. Une nouvelle science permet à tous les êtres humains de créer la réalité qu’ils souhaitent. Joe Dispenza, auteur, conférencier, chercheur et chiropraticien reconnu, unit les domaines de la physique quantique, des neurosciences, de la chimie cérébrale, de la biologie et de la génétique pour nous montrer comment nous pouvons interagir sur notre ADN. Vous découvrirez dans ce livre comment modifier tous les aspects de votre personnalité, et comment utiliser les instruments permettant d’effectuer des changements significatifs dans n’importe quelle sphère de votre vie. Une fois que vous aurez modifié certains aspects de vous-même, votre vie sera transformée à jamais. Joe Dispenza démystifie les fausses croyances, comble le fossé existant entre la science et la spiritualité et révolutionne notre vision de l’existence et notre connaissance du cerveau. »


Le pouvoir du moment présent: Guide d’éveil spirituel

« Eckhart Tolle nous enseigne qu’il est possible de vivre sans souffrance, sans anxiété et sans névrose. Mais pour atteindre cet état d’éveil nous devons arriver à comprendre que nous sommes nous-mêmes les créateurs de notre propre souffrance. Que notre mental, et non pas les autres et notre monde environnant, est à l’origine de nos problèmes. C’est notre mental, avec son flot presque continu de pensées, qui se soucie du passé et s’inquiète de l’avenir qu’il faut apprendre à maîtriser.
Pour entreprendre ce périple vers le pouvoir du moment présent, il nous faut laisser derrière nous notre esprit analytique et le faux moi qu’il a créé, c’est-à-dire l’ego. Dès le début du premier chapitre, nous nous élevons rapidement vers des hauteurs où nous pourrons respirer un air plus léger propre à la spiritualité.
Même si le périple où Eckhart Tolle nous emmène présente des défis, le langage qu’il emploie est simple et le format question-réponse qu’il a choisi constitue un guide rassurant. Les mots ne sont eux-mêmes que des panneaux indicateurs. »


Les cinq blessures qui empêchent d’être soi-même 

« Ce livre démontre que tout ce que nous vivons provient principalement de cinq grandes blessures de bases. Grâce à ce livre et à une description très détaillée (physique, émotionnelle et mentale) de chacun des cinq masques que nous créons pour cacher ces blessures, vous arriverez à identifier la vraie cause (blessure) d’un problème précis dans votre vie. »


Que dites-vous après avoir dit bonjour ?

« Ce livre, qui révèle les principes de base de l’Analyse transactionnelle – découverte par le Dr Eric Berne – est l’un des plus significatif et des plus importants de son œuvre. Cette méthode d’analyse propose en effet une théorie nouvelle : la personnalité d’un individu serait composée de trois éléments : le Parent, l’Adulte, l’Enfant. Notre destin serait donc conditionné dès l’enfance par un « scénario » qui dicterait toutes nos actions, entraînerait nos échecs ou nos réussites. Est-il possible de se libérer de ce scénario ? Oui, répond Eric Berne, en proposant un questionnaire qui permet au lecteur de découvrir le pourquoi profond de ses actes. Ce livre est un classique de la thérapie moderne. Aussi important que les grands textes de Freud, auxquels il apporte un complément éminemment utile : l’efficacité immédiate. En effet, cette méthode, qui permet un dialogue avec soi-même – donc avec l’autre – accorde autant d’importance aux événements actuels qu’aux événements anciens de sa vie. »


Pouvoir illimité – Anthony Robbins

« Rêvez-vous d’une vie meilleure ? Pouvoir illimité est un livre puissant qui modifiera radicalement votre existence. Les stratégies et les techniques de programmation neurolinguistique qu’il révèle vous permettront d’atteindre une qualité de vie insoupçonnée sur un plan privé et professionnel. Pas à pas, vous développerez une plus grande aisance dans vos relations et vos communications ; vous vous débarrasserez en quelques minutes de vos peurs et phobies ; vous contrôlerez vos émotions et obtiendrez une forme physique exceptionnelle ; vous atteindrez une liberté financière et personnelle qui vous permettra de réaliser vos projets et bien plus encore. Avec l’aide d’un des plus grands consultants et coachs au monde, Anthony Robbins, donnez-vous les moyens de vos ambitions et décidez d’avoir enfin la vie dont vous avez toujours rêvé. »


Méditer, jour après jour – Christophe André

« Méditer, ce n’est pas se couper du monde, mais au contraire se rapprocher de lui pour le comprendre, l’aimer et le changer. C’est aussi un moyen, accessible à tous, de cultiver la sérénité et le goût du bonheur. Cet ouvrage est conçu comme un manuel d’initiation à la pleine conscience, la plus fascinante des méthodes de méditation, étudiée et validée par la recherche scientifique.

Au travers de 25 leçons, vous aborderez l’essentiel. Depuis les bases : comment utiliser la respiration, le corps, la conscience de l’instant présent ; jusqu’aux méditations approfondies : faire face à la souffrance, stabiliser ses émotions, construire la paix de l’esprit et du coeur… »


Le grand tournant – Gregg Braden

« C’est UN FAIT que nous vivons une ère d’extrêmes. C’est UN FAIT qu’il vaut mieux nous adapter à la nouvelle « normalité » que de nous raccrocher à l’idée d’un monde qui n’existe plus. C’est UN FAIT que les solutions à nos plus graves problèmes existent déjà et qu’il suffirait d’adopter le mode de pensée qui leur donnerait une place dans nos vies. C’est UN FAIT que la nature nous procure des tournants permettant de transformer notre lutte contre les extrêmes en des choix de résilience favorisant la vie. Nous solutionnons nos problèmes selon notre vision du monde et de nous-mêmes. Qu’il s’agisse du pic énergétique, de la crise de la dette, des économies défaillantes ou des bouleversements climatiques, la vie nous indique quotidiennement dans quels secteurs la pensée d’hier est désuète. Elle nous montre aussi que les grands changements mondiaux suscitent des changements importants dans nos vies. Un monde nouveau, sain et durable est en émergence, que nous pourrons accepter à la condition de bien vouloir : Reconnaître honnêtement la réalité de ce que nous affrontons. Admettre les nouvelles découvertes révélant le rôle de la coopération entre la nature et les sociétés humaines. Créer de la résilience dans nos vies, dans nos familles et dans nos communautés, selon cinq principes durables qui ont fait leurs preuves. Au moyen de données scientifiques faciles à saisir et confirmées par la sagesse traditionnelle, « Le Grand Tournant » identifie les extrêmes qui modifient le monde et notre existence, et nous indique les stratégies à adopter pour tirer profit de cette transformation. »


Les quatre accords Toltèques – Don Miguel Ruiz

« Castaneda a fait découvrir au grand public les enseignements des chamans mexicains qui ont pour origine la tradition toltèque, gardienne des connaissances de Quetzacoatl, le serpent à plumes. Dans ce livre, Don Miguel révèle la source des croyances limi-tatrices qui nous privent de joie et créent des souffrances inutiles. Il montre en des termes très simples comment on peut se libérer du conditionnement collectif – le rêve de la planète, basé sur la peur – afin de retrouver la dimension d’amour inconditionnel qui est à notre origine et constitue le fondement des enseignements toltèques. Les quatre accords proposent un puissant code de conduite capable de transformer rapidement notre vie en une expérience de liberté, de vrai bonheur et d’amour. Le monde fascinant de la Connaissance véritable et incarnée est enfin à la portée de chacun. »


Biologie des croyances – Docteur Bruce H.Lipton

« Chercheur et ex-professeur d’une école de médecine, Bruce H. Lipton, Phd., présente ses expériences et celles d’autres scientifiques de pointe qui ont examiné en détail les mécanismes par lesquels les cellules reçoivent et traitent les informations. Les implications de ces recherches changent radicalement notre compréhension de la vie en démontrant que les gènes et l’ADN ne contrôlent pas notre fonctionnement biologique. En réalité, l’ADN est plutôt lui-même contrôlé par des signaux provenant de l’extérieur de la cellule, y compris les messages énergétiques émanant de nos pensées positives ou négatives. Cette synthèse extrêmement prometteuse des meilleures et plus récentes recherches en biologie cellulaire et en physique quantique a été saluée comme une percée majeure car elle démontre que notre corps peut se modifier si nous changeons notre mode de pensée. Cet ouvrage changera définitivement votre façon de « percevoir vos propres perceptions ». L’auteur, un biologiste cellulaire de grande renommée, décrit les voies moléculaires précises qui en sont responsables. Dans un langage simple, avec des illustrations, un soupçon d’humour et des exemples de tous les jours, il démontre comment la nouvelle science de l’épigénétique vient révolutionner notre compréhension du lien qui existe entre l’esprit et la matière, ainsi que les effets profonds de ce lien sur nos vies personnelles et la vie collective de notre espèce.


Découvrez également mes articles sur des thématiques similaires : Les quatre grandes clés de la coopération, Le coaching professionnel.

Sources : amazon.com

Chère Intuition,

Chère Intuition,

Chère Intuition,

J’ai toujours su que tu étais là en moi, et pourtant je t’ai souvent ignorée, préférant écouter et me fier à ce que les « autres » disaient, en ayant la croyance qu’eux savaient mieux que moi ce qu’il était bon que je décide pour moi. Ma confiance en toi, intuition, et ma confiance en moi, les deux en même temps ont été mises sous le couvercle d’une réalité souvent non choisie. Heureusement à des moments cruciaux de ma vie, tu as soulevé le couvercle et tu t’es fait entendre. Aujourd’hui tu es présente au quotidien comme une part de moi que je questionne souvent ou qui prends la parole d’elle-même par des synchronicités, des sons, des images qui apparaissent. Tu embellis ma vie, la rend plus juste, moins chaotique. Tu me fais ralentir lorsque mon mental me pousse à agir sans discernement. Je fais appel à toi dans les moments où tout se trouble où je ressens que tout bouillonne dans ma tête. Et comme une mère qui met une serviette fraîche sur le front de son enfant lorsqu’il a de la fièvre, tu me ramènes à plus de cohérence, de douceur et tu éclaircis ma vision du monde.  

Marc Fiori, le 16 novembre 2021.

Les 4 Grandes Clés de la Coopération

Les 4 Grandes Clés de la Coopération

Comment passer d’une collaboration classique à une coopération générative

Première Clé : L’individu réaffirmé

Pour développer la Coopération, le premier réflexe est de travailler sur le collectif. Cela paraît une évidence, mais restons vigilant : le risque est de ne voir ce collectif que comme un tout, en oubliant de s’intéresser à chacun des individus qui le composent. La Coopération se nourrit de la diversité et donc de l’acceptation par chacun de son individualité et de celle de l’autre. La Coopération efficace ne se base pas sur le mimétisme, mais sur le développement de la personnalité et des talents de chacun, sans que ce soit au détriment de la relation aux autres ou de la contribution au « tout ».

La Coopération émerge d’une danse équilibrée qui fait des boucles perpétuelles entre l’individu et le collectif, un peu comme le signe de l’infini. De fait, cette Coopération s’appuie sur un socle de développement des individus. Afin d’accepter de jouer le geste de la Coopération, chaque individu qui compose le groupe doit se sentir contributif en tant qu’individu pour le groupe, en lien avec « l’œuvre à créer » et suffisamment solide pour trouver sa place et interagir avec les autres au sein du groupe. Il doit également se sentir naturellement aligné au groupe, comme une évidence qui tient compte de son « soi » profond.

Ces différents points touchent au développement personnel. Chacun peut les travailler dans son coin, mais si l’on veut développer la Coopération et accélérer l’alignement et le développement des individus, il est indispensable d’utiliser les autres et le collectif pour cela dans un jeu de souplesse agile qui favoriserait « l’articulation du Je Nous » Concrètement, tout ce qui touche à la définition des rôles et de règles de fonctionnement y contribue. Ou la pratique encouragée des feed-back, des régulations et des gestes de reconnaissance (informels ou organisés). Ou encore, les réunions de groupe où des tours de table systématiques sont mis en place pour que chacun parle de ce qu’il vit, de ses fiertés et difficultés, de ses envies et aspirations, de ses idées et suggestions…

Tout cela est génératif de la mise en place d’une forme d’intelligence collective.

Un individu « apte » à gravir avec son équipe les différents niveaux du modèle de maturité de la coopération c’est un individu qui cherche à savoir :

Qui suis-je ? : cela signifie être conscient de son environnement, de ses compétences, ses capacités, ses croyances, ses valeurs, sa mission, son identité, sa contribution à l’œuvre commune, sa confiance en soi même ; accepter de les remettre en cause si besoin, ou chercher à les faire évoluer positivement ;

chercher à clarifier son positionnement et sa valeur ajoutée (savoir, savoir-faire, savoir-être) pour le collectif et pour la création de l’œuvre commune.

Qui sont les autres ? : cela signifie être curieux de l’autre (des autres), chercher à comprendre le positionnement, la valeur ajoutée de chacun, explicite ou non (savoir, savoir-faire, savoir-être) et contribuer à leur développement.

Comment développer le lien entre moi et les autres, moi et le collectif ? : cela signifie être convaincu de la nécessité de la diversité (sur tous les registres) et admettre la différence, accepter les divergences de point de vue, donner et se nourrir des feed-back, s’impliquer avec authenticité, développer son assertivité, ses capacités relationnelles et de communication, nourrir son intelligence interpersonnelle…

Seconde Clé : La carte n’est pas le territoire

Chacun d’entre nous construit sa propre vision du monde et, par conséquent, chacun d’entre nous a sa propre représentation du monde. Il n’existe pas de carte unique : « la carte n’est pas le territoire » !

Cette notion, développée par Alfred Korzybski (Ingénieur, chercheur en sciences humaines et fondateur de la sémantique générale), correspond au fait que nous percevons le monde (le territoire) à travers nos sens (vue, toucher, ouïe, odorat, goût) et les filtres de notre cerveau.

Nous nous en faisons une représentation interne (la carte), cette représentation n’est pas la réalité mais notre réalité. Cette notion est également un de présupposé de la Programmation

Neuro Linguistique développée par Richard Bandler et John Grinder dans

les années 70. Nous voyons donc les choses différemment les uns les autres

et évidemment nous ne nous arrêtons pas là puisque nous projetons notre vision du monde sur tout ce qui nous entoure et nous utilisons notre carte pour lire le territoire (les intentions) d’autrui.

L’invention de l’intention : l’interprétation

Nous ne pouvons connaître l’intention de l’autre si ce n’est en le lui demandant explicitement et encore faut-il qu’il en ait pleinement conscience (ce qui n’est pas toujours évident).

Le faisons nous toujours ?…

Aujourd’hui, les neurosciences nous apportent un éclairage nouveau sur le fonctionnement du cerveau. A savoir, celui-ci ne voit que ce qu’il connaît et les éléments que nous percevons sont déjà déformés avant de rejoindre les aires de traitement dans notre cerveau. De nombreuses expériences nous en font la démonstration : un cadre rectangulaire qui tourne autour d’un « faux axe » sera vu comme une parfaite ellipse tournant autour de son axe !

Un masque en creux sera vu comme un masque en relief, simplement.

En reprenant les travaux de Chris Agyris (professeur à Harvard) qui décompose le fonctionnement de notre cerveau en un certain nombre « d’opérations » à partir des données et expériences observables (niveau 0)

  • Dans un premier temps (Niveau 1), le cerveau sélectionne les informations. Même si, notre cerveau enregistre une quantité impressionnante de données, il ne va sélectionner que celles jugées utiles. Dans bien des cas de la vie courante, cette sélection nous est utile, voire vitale (ie. la conduite en voiture, la lecture), tandis que dans d’autres, elle peut nous conduire à une mauvaise compréhension de la réalité.
  • Puis, à partir de ces données sélectionnées, nous y ajoutons notre interprétation (Niveau 2). Cette interprétation est issue de notre environnement culturel (ie. le rire dans les sociétés occidentales et orientales n’a pas le même sens). L’interprétation est aussi liée à nos croyances (ce qu’il est bon de faire, ce qu’il est important de faire selon nous).
  • A partir de notre interprétation, nous faisons des hypothèses (Niveau 3) et nous en tirons des conclusions (Niveau 4).
  • Ces conclusions consolident des convictions que nous avons sur le monde, ou créent de nouvelles convictions (Niveau 5).
  • Nous prenons nos décisions à partir des convictions ainsi développées (Niveau 6).

Nous passons le plus clair de notre temps dans une partie abstraite, que nous partageons très peu (niveau 1 à 5). Nous prêtons alors à l’autre des intentions (bonnes ou mauvaises) que nous ne validons presque jamais mais dont nous sommes convaincus.

Ces présomptions et les conclusions sont particulièrement difficiles à vérifier si ce n’est par un dialogue, le feedback, une écoute active de l’autre empathique et dégagée de nos aprioris et convictions.

La Coopération nécessite d’éclaircir nos processus mentaux et d’écouter les intentions de l’autre, plutôt que de les interpréter de notre côté. Ce mouvement qui part de soi vers l’autre, nous permet de comprendre les intérêts et les envies de chacun pour construire une voie qui les réconcilie le plus possible.

Troisième clé : Le but d’ordre supérieur

L’œuvre commune est le point de convergence ambitieux pour tous ceux qui sont impliqués dans l’action commune qui nécessite une Coopération. Parler d’objectif commun n’est pas suffisant : il s’agit de remonter d’un niveau pour parler d’une mission, d’une vision, d’une finalité. Il s’agit d’évoquer quelque chose qui est à la fois concret, rationnel, mais aussi de quelque chose qui « transcende », qui parle aux émotions, aux tripes et qui vient de l’intuition.

Il est important bien sûr de partir des demandes de l’environnement, des enjeux en lien avec le business. Cette œuvre commune — ou But d’Ordre Supérieur (BOS) — de l’équipe doit être alignée avec celle du système qui l’englobe (l’entreprise et plus largement encore).

Mais également, veiller à faire le lien entre ce BOS et les objectifs et aspirations personnelles de chaque individu qui compose le collectif. Pour cela, une alignement est nécessaire avant de se jeter dans l’action, un temps d’appropriation pour chacun également, de manière à développer l’engagement et créer une véritable aspiration. Si l’on repense à la parabole des tailleurs de pierres de Charles Péguy, ce n’est pas la même chose d’avoir comme objectif de « tailler des pierres » — même si d’autres le font à côté de moi — que de contribuer à « l’édification d’une cathédrale à la gloire de Dieu » !

Le formuler et le faire vivre

Au démarrage, pour clarifier le BOS et développer l’engagement, il est souvent utile de se réunir et faire que chacun s’exprime autour des questions : Qu’est-ce qui me fait vibrer ? Qu’est-ce que je serais prêt à risquer, à lâcher pour que cela se réalise ? On peut aussi travailler en creux : Quel est le risque de gâchis à ne pas y aller ? A ne pas œuvrer ensemble ?

Certains, pour s’engager, sont sensibles au but ; d’autres au chemin… Certains ont besoin « d’aller vers », d’autres « de partir de »… Tous ces leviers personnels et spécifiques sont à prendre en compte. Chacun doit s’identifier au BOS et en même temps se sentir spécifiquement contributeur.

Il s’agit d’un préalable à l’action mais aussi de quelque chose à revisiter ou à faire revivre en cours de route. Pour chacun, doivent être comprises et réinterrogées sans cesse les notions d’ « apports » et d’ « attentes » vis-à-vis du BOS et des autres acteurs du collectif : Quelle est ma contribution et qu’est-ce que cela m’apporte ? Cela peut être abordé lors de boucles de feed-back permanentes instituées ou provoquées. Ces feed-back individuels, mais aussi des temps collectifs conviviaux pour fêter les avancées, sont indispensables pour que chacun et tous se sentent reconnus. Ceci développe aussi les sentiments de fierté et d’appartenance, qui permettent l’engagement durable — à condition de ne pas se faire au détriment du système plus large (l’entreprise, le marché, la société…) dans lequel s’inscrit le groupe : attention au syndrome du « village gaulois ».

Le besoin d’un leader charismatique

Le BOS est autre chose qu’un BOSS ! On est souvent dans le fantasme d’avoir un grand leader charismatique qui entraîne tout le monde dans son sillage car il communique magnifiquement SA vision. En réalité il est très rare de disposer d’un JFK ou d’un Steve Jobs comme patron. Il est même souhaitable que le BOS ne soit pas incarné par une seule personne, mais bien par chaque membre de l’équipe (codir). Et le Patron doit se faire humble vis-à-vis de la vision / mission.

Cela conduit à une question plus générale : le BOS doit il provenir de l’interne ou de l’externe ? Une impulsion externe est souvent utile pour la mise en mouvement initiale. A être trop dans l’opérationnel et le détail on en perd parfois la vision globale… Et pour finir, rappelons que même si le BOS est formulé d’une façon un peu abstraite, il doit être issu d’enjeux business très pragmatiques et il est primordial de lui associer des moyens concrets d’action pour le rendre accessible.

Quatrième Clé : Le cadre d’organisation

Réussir l’équilibre subtil entre trop et pas assez de cadre reste un challenge auquel de nombreuses équipes ou organisations se sont toutes trouvées un jour confrontées. Les clés précédentes jouent bien évidemment un rôle précieux car plus le But d’Ordre Supérieur est partagé, plus la confiance en soi et dans les autres est forte, moins nombreuses et nécessaires seront les règles, les processus et procédures qui vont guider et aider le collectif.

Cependant, le cadre reste toujours nécessaire pour de bonnes raisons :

  • Optimiser les ressources et les énergies
  • Assurer l’utilisation de tous les talents
  • Synchroniser les efforts et les tâches

Ce cadre doit être un guide de l’action et la libérer plutôt que de la contraindre. Il n’est pas du tout opposable pour générer un processus d’intelligence collective dans un groupe ou dans une entreprise. Un collectif qui fonctionne est un collectif capable de se donner des règles simples, pratiques et capable de les faire évoluer au fil du temps en fonction des situations et des circonstances. A l’inverse, un collectif qui fait trop souvent référence aux processus, voir se déresponsabilise derrière une règle ou des individus qui invoquent leur absence pour se dédouaner d’un manquement sont les symptômes d’un collectif qui ne joue pas encore à fond la carte de la Coopération.

Par Marc Fiori – Coach Professionnel

Energétique par l’imagerie électro-photonique

Energétique par l’imagerie électro-photonique

energétique

Lors de votre séance nous mesurons l’émission de photons par votre corps.

Pendant le processus de mesure, un courant électrique d’impulsion très faible – quelques micro-ampères – est envoyé sur vos doigts qui sont placés dans le capteur (non invasif) et nous photographions les électrons que votre corps émet qui nous donnera une mesure complète de l’ensemble de vos organes (méridiens et chakras), et la vision de vos « corps subtils » (physique, éthérique, astral, mental, causal, bouddhique),

Ensuite après analyse de résultats nous proposons deux types de soins énergétiques :

  • Par les sons à haute fréquence et sons binoraux
  • Par l’encodage de l’eau (selon les travaux du Professeur Benveniste et du Professeur Masaru Emoto)
energétique

Que mesure la méthode GDV BioWell en termes physiologiques ?

Le fonctionnement de tous les organes et systèmes est régulé par le système nerveux central (SNC) et le système nerveux autonome (SNA). Nous pourrions comparer le fonctionnement du corps et le jeu d’un orchestre symphonique. Les moindres mouvements de dizaines de musiciens sont en parfaite harmonie; ils suivent la même partition et répondent avec sensibilité à la plus petite direction du chef d’orchestre.

Vous pourriez distinguer l’alto ou le hautbois, mais ils sembleraient faire partie d’une belle mélodie. C’est sensiblement la même chose dans le corps: chaque organe et chaque système joue son rôle, mais tous suivent le même rythme. Mais il arrive que l’un des violons perde ce rythme, sortant du temps. Cela passera inaperçu à l’oreille non avertie, et seul un auditeur expérimenté remarquera la fausse note.

La mélodie continue, mais plus le nombre d’instruments qui s’écartent de la partition est grand, plus la dissonance sera forte et perceptible, jusqu’à ce que même l’auditeur le moins initié commence à grimacer. Cette analogie peut être appliquée au fonctionnement du corps. Tant que tous les systèmes et organes travaillent en harmonie, à l’unisson, suivant le même programme, le corps est à son niveau de fonctionnement optimal. Le contrôle et la direction sont assurés par deux mécanismes fondamentaux :

• Contrôle autonome par le système nerveux (ANS) 

‎• Contrôle d’électrons par des formes actives d’oxygène dans le sang.

On pourrait dire que ce contrôle est le niveau de base, permettant au corps de détecter tous les impacts externes et d’y réagir instantanément, en supportant l’homéostasie et la constance relative de l’environnement interne. Si une personne court et fait quelques mouvements brusques, le SNA accélère la fréquence des contractions du cœur, la respiration également, et ceci augmente la transpiration. Une plus grande quantité d’oxygène pénètre dans le sang, cet oxygène est plus activement transmis aux tissus et certains sous-produits sortent à travers la peau. Cette réaction a lieu presque instantanément, le corps entier, tous ses systèmes et organes, sont engagés par cette réaction. C’est la preuve que tous les organes et systèmes fonctionnent de manière synchronisée, sous le contrôle d’un système de commandement unique. Comme dans un orchestre bien accordé.
Lorsque la régulation autonome échoue et que la synchronicité est perdue, les organes et les systèmes cessent de fonctionner en harmonie et les premières anomalies fonctionnelles apparaissent. Dans les premières phases, ces anomalies altèrent l’état de santé, perturbant le sommeil et la digestion.

Un dysfonctionnement continu conduit à des anomalies au niveau des organes, bien que la zone d’anomalie dépende du type de charge et de la prédisposition génétique. Réagissant aux commandes provenant du SNC et de l’environnement, l’ANS et le sang envoient des signaux de contrôle de l’information aux systèmes et aux organes du corps. Ces signaux sont «traités» à la fois au niveau physiologique des systèmes, en engageant les systèmes endocrinien et immunitaire. L’information est ensuite transférée aux organes de contrôle, comme dans un circuit de contrôle fermé, bouclé.


Le système nerveux autonome est le principal indicateur de la réaction du corps aux impacts externes et internes, des changements dans les conditions météorologiques, des produits chimiques dans les aliments et de l’efficacité de l’absorption de l’oxygène. Tous ces processus sont traités par le système nerveux sympathique et parasympathique et se reflètent sur les paramètres de la couverture cutanée. La résistance électrique de la peau change, à la fois dans son ensemble et aux points d’électro-puncture. Les capillaires sanguins se rétrécissent et s’élargissent, on observe une émission de molécules organiques à travers les pores; et la nature du transfert d’électrons dans les tissus conjonctifs change également. Tous ces processus influencent l’émission d’électrons de la peau, qui se reflètent dans les mesures de la caméra BioWell.

L’Hypnose

L’Hypnose

Le principe de l’hypnose est d’accéder à un état modifié de conscience pour revisiter la réalité et la façon dont vous la percevez, ce qui permet de trouver de nouvelles ressources.

L’hypnose : comment ça marche ?

L’état d’hypnose est un état naturel dans lequel chacun peut se retrouver sans le réaliser. En d’autres termes, c’est le fait d’être présent, sans l’être en même temps. Ce sont tous les moments où l’esprit se soustrait. Un état hypnotique singulier que nous connaissons et que nous pratiquons sans le réaliser. 

L’état hypnotique est singulier et doit être distingué des états de veille et de sommeil.. Nous le connaissons et le pratiquons tous sans le savoir. Une situation dans laquelle l’individu exprime un sentiment d’indifférence au monde qui l’entoure.

Schématiquement, l’état de conscience est comme endormi. Par conséquent, on lève ses freins, ses blocages et on se défait des idées nocives. La conscience, généralement hyperactive, laisse davantage de place à l’inconscient. Un espace où sont stockés nos “comportements assimilés”, notamment par les diktats familiaux, sociaux ou environnementaux.

qu'est ce que l'hypnose

Schématiquement, l’état de conscience est comme endormi. Par conséquent, on lève ses freins, ses blocages et on se défait des idées nocives. La conscience, généralement hyperactive, laisse davantage de place à l’inconscient. Un espace où sont stockés nos “comportements assimilés”, notamment par les diktats familiaux, sociaux ou environnementaux.

L’hypnose Ericksonienne :

La pratique de l’hypnose ericksonienne est l’une des branches les plus connues de cette thérapie. Son nom est directement tiré du psychiatre américain Milton Erickson. Dite thérapie brève (quelques séances seulement), l’objectif de l’hypnose ericksonienne est de faciliter la psychothérapie en créant un passage entre l’état de conscience et celui d’inconscience.

L’hypnose ericksonienne n’enlève en rien le contrôle que vous avez de vos actions. En effet, votre cerveau dispose de “sécurités” qui restent actives malgré l’état d’hypnose. Vous êtes le maître d’oeuvre de l’hypnose dont vous avez besoin à l’instant T.

qu'est ce que l'hypnose

Dans quels cas peut-on faire appel à l’hypnose ?

L’état hypnotique repose sur un équilibre entre un niveau de conscience plus ou moins présent et un inconscient qui rend accessible denouvelles ressources personnelles pour affronter une situation particulière et d’adopter de nouveaux comportements plus adaptés à votre objectif. Ses champs d’application sont donc très vastes.

Dans le domaine thérapeutique elle permet de diminuer l’importance des symptômes d’un certain nombre de pathologies, et de développer de nouveaux comportements permettant de mettre à distance le motif d’une souffrance ou d’une douleur, de retrouver un état antérieur à celle-ci, et parfois de la résoudre.

Son efficacité contre la douleur physique est reconnue par la sphère médicale.

Source : medoucine.com